1 mars 2021
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Enjeux
Graines de sésame, une Europe responsable et exigeante
Une meilleure prévention pour éviter les contaminations ?
Par conséquent, pourquoi attendre ? Aussi il est préférable de se responsabiliser et de ne pas attendre les contrôles pour se faire sanctionner.
Pour cela, les solutions existent. Par exemple, la pasteurisation à vapeur saturée est l’une de meilleures.
D’ailleurs développée par Steripure, elle permet de garantir le bon traitement de vos denrées alimentaires pour éviter ce type de crise. La performance de sa technologie innovante est un atout essentiel.
Vous êtes importateurs, exportateurs, transformateurs, contactez-nous. Un simple test peut éviter bien des complications.
Naïveté au sujet de l’importation de denrées alimentaires ?
Graines de sésame contaminées : le Sénat dénonce les failles des autorités de contrôle.
Renforcer les contrôles ou organiser une chaine d’approvisionnement plus responsable ?
Sur ces points les #exportateurs dans les pays #producteurs, souvent loin des préoccupations des marchés nationaux. Doivent-ils choisir eux-mêmes la solution pour traiter leur production contre les contaminations microbiennes ?
La crise de la graine de sésame indienne (#oxydedethylene) est le parfait exemple des dérives qu’il faut éviter. L’exigence des normes européennes est mal appréhendée. Croire bien faire n’est malheureusement pas suffisant. Alors, importateurs, transformateurs, sécurisez la qualité des denrées. Ne soyez pas naïfs.
Graines de sésame un exemple pour plus de contrôles de la part de l’Europe ?
De plus les contrôles, suite à cette dernière crise sur les graines de sésame, vont être renforcés.
En effet dans son rapport, la commission des Affaires économiques pointe les manquements des autorités nationales et européennes sur le contrôle des denrées importées. « Cette alerte sur les graines de sésame doit servir d’avertissement », insistent-ils. Les sénateurs pointent le nombre insuffisant de contrôles aléatoires dû à un budget inadapté aux enjeux de sécurité sanitaire. « Les moyens mis en œuvre en France pour ces contrôles font état d’un ratio de seulement 50 centimes d’euro de contrôles pour 1 000 euros de denrées importées ».